A force de force

Barreaux dedans, peinture de Marie HurtrelCe que tu écris n'a pas de sens, cher ami qui fait ou a fait des études littéraires et toise tout un chacun du haut de son mépris et sa science dont on se demande bien de quelle braderie elle émane.

À force de force (rép. intentionnelle), le décryptage est lassant de tes tournures détournées et boiteuses, mais sur toi les façons se et nous éclairent.

Prônant l'anarchie quand à l'ordre tu voues un culte pour peu qu'il soit tien, et louant un lambdaïsme en façade quand tu te décernes un statut de juge, et qui plus est sans justesse ni du propos ni de la langue, et notifiant tes sorties en assurant la provocation qui devrait réveiller le monde sur lequel ta prétention a du mal à justifier la raison, en te couronnant de lemmes soigneusement sucés par le mauvais bout et des années durant pour avancer la légitimation des insultes que tu lustres ainsi que le membre de la mort.
 
Vésanie diras-tu, cherchant misère et co-plainte en tentant de nous siffler la complainte que toi seul entends libertaire.

Et "susceptible" n'est pas un verbe, comme l'insulte et le mépris ne sont pas des diplômes.
Tes amis ne sont pas susceptibles, eux, preuve en est qu'ils supportent ta susceptibilité arrogante et de déchiffrer ta littérature de bazar, pour quelques uns en tous cas.

Pose-toi la question sur les présences, car le seul que tu emmerdes, là, dans tes délires, c'est toi.

Marie HURTREL
21 juin 2012