Chercheuse de l'insens, du sens, de l'ab-sens, et de la liberté.
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En quelques lignes, je vous raconte un bout de ma life et ma vision des choses :
Auteur et artiste peintre, je ne peux plus participer aux différents salons qui me permettaient de survivoter dans ce monde de requins. Les salons sont importants afin de garder les bons contacts de la profession et aussi de vendre les créations en direct. Il ne me reste que la vente en ligne qui subit aussi des restrictions, du fait des différents appels au boycott de certaines plateformes de vente de livres en ligne.
Parce que je refuse de plier aux ordres dits "sanitaires", je n'ai pas de pass-machin, donc pas de salons.
Beaucoup me disent qu'ils n'ont pas eu le choix et se sont faits injecter afin de continuer à travailler. Moi, non, pourtant si on les écoute, je ne devrais pas avoir le choix non plus. Mais quand je me fais piquer, c'est pour des vaccins, des vrais, comme par exemple la fièvre jaune pour aller au Cameroun, les raisons étant donc alors vraiment et uniquement sanitaires. Il n'est pas question de me faire injecter un produit toxique qui a rendu malades des amis proches ayant la naïveté de croire qu'un gouvernement veut toujours du bien à la population, et en a tué trois. Morts qu'on n'a pas le droit public de lier au produit injecté au risque de se faire traiter de tous les noms par ceux qui savent mieux que nous et qui n'ont pas perdu à cette roulette russe, et pourtant...
Je ne veux pas de produit dont, en plus des conséquences graves qui se révèlent, on ne sait pas l'exacte composition et dont la définition ne peut pas être "vaccin" si l'on tient compte de la réelle définition avant qu'elle n'ait été modifiée pour faire entrer leur jus de la mort dedans.
Et pas de tests qui ne servent à rien qu'à aller chercher au fond des tarbouifs le vague souvenir d'anciens éternuements. On vous parle de prévalence, d'amplification démesurée ; heureusement qu'il y a de l'info sur le site même de l'OMS... faut juste aller la lire.
Et donc pas de pass-machin, aussi parce qu'il n'est pas question de participer à la pantalonnade visant uniquement la mise en place d'un contrôle absolu et du chantage qui en découle et celui qui en découlera. Parce que j'ai des enfants, parce que j'ai des amis qui ont des enfants, parce que le sens des priorités ne repose pas sur les accoudoirs exclusifs des besoins personnels. Pas question de participer à l'établissement du permis de vivre à points. J'ai choisi, les revenus en prennent leur claque mais, la vie, elle, me donne raison. Il n'y a pas trente-six façons de résister.
Marie HURTREL
15/11/2021